PRESENTATION

Psychologie

Je pratique une psychologie vivante, ancrée dans le réel, mais tournée vers le mouvement. Comme une architecture intérieure : on restaure, on ajuste, on agrandit parfois — toujours pour redonner de l’élan

Espace

Créer un espace, c’est déjà prendre soin. Que ce soit par des murs ou des mots, je cherche à bâtir des lieux intérieurs où l’on se sent accueilli, ajusté, capable d’élan. L’architecture est mon autre langage du soin

Voyage

Le voyage m’a appris que le dépaysement commence en soi. Chaque traversée, chaque rencontre, chaque silence loin de chez moi vient élargir ma façon d’accompagner : plus souple, plus curieuse, plus vivante
A propos

Ce site est une traversée

C’est peut-être un site de psychologue, mais ce n’est pas qu’un site de psychologie.

C’est un espace que j’ai voulu construire à mon image : mouvant, habité, un peu à la croisée des chemins. Un lieu qui parle autant d’écoute que de silence, autant de soin que d’espace — car pour moi, accompagner quelqu’un, c’est d’abord lui offrir un cadre. Un cadre solide, souple, clair. Comme une belle architecture.

Je suis psychologue clinicienne, oui. Mais aussi passionnée d’architecture, de géographies humaines, de lieux qui racontent des histoires. Je vis une partie de l’année en Arabie Saoudite, dans une semi-expatriation qui me fait voir le monde autrement. Le désert, les villes en chantier, les rencontres inattendues : tout cela nourrit ma façon d’être au monde, et donc ma façon d’accompagner.

J’ai toujours vu les lieux comme des personnages. Les maisons, les rues, les lignes des bâtiments — tout cela parle de nous. De ce qu’on construit, de ce qu’on laisse en friche, de ce qu’on rêve en silence. J’aime penser que chaque accompagnement est un chantier délicat : on déblaye, on consolide, on ouvre des fenêtres. On construit quelque chose qui tient debout, à l’intérieur de soi.

Ce site, c’est une porte d’entrée. Vers un accompagnement, peut-être. Mais aussi vers un univers fait de mouvements, d’exils intérieurs, de paysages traversés. Il est né d’un désir simple : relier ce que je fais à ce que je vis, et inviter celles et ceux qui le souhaitent à en faire un bout de chemin.